CAP sur la réussite

Vous avez dit « CAP » ?

La communauté d’apprentissage professionnelle (CAP) favorise les transformations nécessaires pour la réussite éducative des élèves. Ce mode de fonctionnement développe l’intelligence collective de l’école en créant un espace de collaboration qui amène les acteurs scolaires à partager leurs réflexions quant aux apprentissages des élèves, et à se questionner sur les manières dont leurs pratiques puissent répondre davantage aux besoins de ces derniers. La CAP vise entre autres à implanter les stratégies reconnues à haut rendement afin de voir progresser tous les élèves.

Sur quoi s’appuie une communauté d’apprentissage professionnelle?

Dans une communauté d’apprentissage professionnelle :

  • La réussite des élèves est la priorité absolue de l’école.
  • Leur réussite est la responsabilité de tous.
  • La direction de l’école assure un leadership partagé.
  • L’école est repensée pour favoriser la collaboration et l’harmonisation des pratiques de même que la diffusion de l’expertise des intervenants.
  • Les enseignants sont interdépendants devant les défis touchant la progression des élèves et partagent leurs connaissances des stratégies à haut rendement pour les surmonter.
  • Une culture de collecte de données appuie les décisions pédagogiques liées au progrès des élèves. L’évaluation vient améliorer l’apprentissage.
  • Les enseignants sont en apprentissage continu et le développement de leurs connaissances et de leurs compétences est étroitement lié aux interventions pédagogiques à implanter pour améliorer l’apprentissage des élèves.

Mais comment répondre aux besoins variés des élèves? Comment adapter l’enseignement pour améliorer leur apprentissage et observer de manière efficace ce qu’ils ont véritablement appris? »

Comment amener les enseignants à partager leur expertise avec leurs collègues afin d’optimiser les stratégies d’enseignement? Enfin, comment diffuser dans l’école les nouvelles connaissances issues de la recherche et en assurer l’expérimentation et l’intégration dans les pratiques? »